Un film de Michael Damian
Avec Kay Panabaker, Don Johnson et Lori Loughlin
Scénaristes : Michael Damian et Janeen Damian
Compositeur : Mark Thomas
Directeur de la photographie : Julien Eudes
Monteurs : Avril Beukes et Bridget Durnford
Résumer :Adolescente fougueuse, Moondance Alexander vit seule avec une mère excentrique. Alors qu'elle se prépare à vivre un nouvel état morne et sans surprises, elle découvre un poney, baptisé Checkers, qui s'est échappé de son enclos. Moondance décide de rendre à son propriétaire, Dante Longpre, un homme bourru et mystérieux. Persuadée que l'animal est un champion, elle tente de convaincre Dante de la laisser s'occuper de lui...
Mon Avis :
Moi qui cherchait un film d'horreur pour test, je me suis laisser happé par cette histoire aux allures de téléfilm gully, pour les nostalgiques, aprem de france 3 quand y'avait pas d'école et puis on pense furieusement a l'homme qui murmurait et danse avec lui mais la en version " j'parle a un poney" puis il y a Nash bridges, pour les non connaisseurs, Don Johnson c'est aussi le Lieutenant qui se bat contre l'immigration mexicaine pour rodriguez dans le superbe Machete.
Nous avons donc ici un duo, la fillette et le vieux donc, la pauvre petite solitaire dont tout le monde se moque avec une mère bizarre qui a des chakri et des chakra et le vieux bourru mais il souris trop tôt, enfin bref c'est pas trop grave parceque ce film est sympathique a souhait, blindé de bons sentiments a souhait, pour un pessimiste comme moi ça du bien de temps en temps et la p'tite est bien rigolote, le cheval pardon le poney est mignon, j'veux le même, Don Johnson est bon acteur comme d'hab' mais la ça change, celle qui fait la mère manque un peu de côté farfelue et la dernière étape : les sauts de chevaux me font penser : il n'y a pas que des tarés qui massacre a tout vas dans les petites villes américaines. Moondance Alexander c'est un film sur la différence, voire comment le Pinto est pris de haut et la reprise en main de sa vie, c'est un excellent divertissement familliale.