Wild Bill

Wild Bill


Ecrit et Réalisé par Walter Hill



Film basé sur la nouvelle "Deadwood" de Pete Dexter

Directeur De La Photographie : Lloyd Ahern

Casting : Jeff Bridges ( Blown Away et Iron Man), David Arquette ( Road Racers et les Scream) et avec, John Hurt, Diane Lane ( Les Rues De Feu de Walter Hill) et Keith Carradine ( Sans Retour de Walter Hill) .

Résumer :

La légende de l'Ouest sauvage, Wild Bill Hickok s'est réfugié dans la ville de Deadwood, dans le sud du Dakota. Un mystérieux étranger décide de mesurer ses talents de pistoléro a ceux de Wild Bill et annonce a qui veut l'entedre qu'il ne quittera pas la ville avant de l'avoir abattu. Mais Wild Bill a d'autres obsessions qui pourraient le mener a sa perte.

Mon Avis :

Le réalisateur de "Un Seul Devienda Invincible" passe du film " Baston Carcéral " réussi avec talent au Western avec réussite.
Une beautée ce film, Oui Jeff Bridges n'est pas Eastwood ni Lee Van Cleef ( Sabata) ni Costner ( Open Range) mais il a une telle présence et en outre il ressemble a 2 gouttes d'eau au vrai Wild Bill, pas de musique du talent de Morricone ni la réalisation de Leone mais laissons tout ça de côté, c'est un style coup de poing, des vues différentes avec une vision plus sur les personnages que les duels et cela est tout a fait crédible, on s'attache aux protagonistes dôté d'un casting royale, petit hic, David Arquette a la même coupe moiniste que C.Slater dans Au Nom de La rose, mis a part cela, on passe un bon moment et on a envie d'en découvrir plus sur ces légendes qu'on nous 're' présente, quoi dire de plus? la profondeur des personnages est travaillé, certains styles de dégaines sont assez étonnantes, un vrai bluff ce film, pas du niveau de Sergio Léone mais Walter Hill prouve avec ce grand western qu'il est un réalisateur et scénariste de talent, il donne une telle puissance a certaines répliques pour des acteurs qui restent quelques secondes a l'écran, les silhouettes et les seconds couteaux sont bien choisis pour donner vie a un script de qualitée.

Seul point regrettable, tous les flash Back, le réalisateur en abuse et la photograpie pas top du noir et blanc.